La servir, c'est, dans son intégralité !

Mais en la massant avec de la lotion ou de l'huile, je choisirais TOUJOURS de l'huile.

« Telle Laga ! » « Jaldi ! »

... c'est peut-être aussi l'article que j'ai écrit ici, expliquant pourquoi j'aime tant lui faire des massages à l'HUILE (si rien d'autre, ils sont si relaxants !)

Mais c'est tellement agréable, c'est tellement agréable de la regarder se détendre !

Semelles : les semelles pour femmes sont toutes très belles aussi ! Chacun a sa propre histoire à raconter au footballeur et au simp admiratif...

... Chacun doit être « pressé » et massé différemment. N'oubliez pas, mon garçon, que certaines femmes ont davantage besoin de masser la SEMELLE. Si elles portent des talons hauts, peut-être la voûte plantaire... et la plante des pieds ne doivent jamais être négligées !

Sans oublier qu'il ne s'agit pas simplement de « presser » le pied. Utilisez vos doigts, CREUSEZ, soulagez cette douleur et faites-le pendant des heures pendant que Madame se détend ou dort, en faisant ce qu'elle veut !

Ces derniers temps, j'ai vu des femmes se huiler les semelles un peu partout.

Et des semelles différentes, bien sûr.

Et cet après-midi, une dame, son mari et leur nouveau-né... dehors sous le soleil de l'après-midi, détendus, s'amusent, et Madame ?

Tout à coup, elle a sorti un flacon de crème solaire et a commencé à y mettre l'une des paires de pieds les plus parfaitement pédicurées que j'aie jamais vues !

Une Indienne, et les pieds étaient beaux, Madame ne voulait pas du soleil dessus !

Cela me faisait penser à une certaine Carol. Je lui tenais le parapluie sous différents angles pendant que nous marchions ensemble, afin que les rayons du soleil (sous des angles différents) ne touchent même pas un pouce de son joli visage !

Une véritable servitude, et quand je regardais cette semelle, elle avait une forme différente, majestueuse... elle était tellement belle !

Je m'en souviens encore !

Et j'avais tellement envie de l'huiler pendant des heures pendant que Madame se détendait...

Quoi qu'il en soit, Serving an Indian Goddess inclut plein de choses de ce genre, et plus encore.

Et si vous n'avez pas encore reçu le livre, vous voudrez vous le procurer... MAINTENANT.

Malk, Paye LaGu, tu es tellement arrogante, j'adore ça !

Voici comment mes journées ont commencé avec Mme Priyanka !

Pour m'habituer à la routine matinale, le jeudi s'est levé sous un soleil radieux et je me suis réveillée presque une heure avant que mon réveil ne sonne. Il était juste 5 h 40 à ce moment-là, et dans des circonstances « normales », je ferais ce que tout le monde ferait dans cette situation, c'est-à-dire retourner directement au lit jusqu'à ce qu'il soit temps de me réveiller, mais le terme « normal » ne s'appliquait pas dans mon cas.

Je n'étais plus une étudiante qui rêvait simplement d'être autorisée à adorer une femme incroyablement attirante et naturellement dominante — j'ai eu la chance d'être en mesure de le faire et j'ai dû agir en conséquence.

Quelle chance ai-je eue d'avoir cette opportunité — cela ne faisait que quelques jours, mais j'étais déjà si profondément empêtrée dans ma servitude à son égard que même ses pieds touchant le sol lorsqu'elle marchait me dérangeaient — ne devrait-elle pas marcher sur des pétales de rose toute la journée pour qu'aucun grain de terre ne puisse souiller ces jolies semelles ?

Bien que j'aie réussi à dormir quelques heures la nuit dernière, il ne s'agissait en aucun cas d'une nuit de sommeil « reposante », mais plutôt d'une nuit où je me retournais et me retournais par intermittence, Mme Priyanka et ma nouvelle position d'esclave dévouée, constamment sur mon subconscient.

J'avais également du mal à m'habituer à l'appareil de chasteté que je portais, ce qui était absolument essentiel car je ne pouvais tout simplement pas contrôler mes érections pendant un certain temps.

Mais l'inconfort physique mis à part, un état d'excitation extrême augmente également mon niveau de soumission et, d'une manière ou d'une autre, grâce à sa connaissance innée des hommes et du fonctionnement de leur cerveau, ma femme l'avait compris et l'avait utilisée à son avantage, mais cela ne me dérangeait pas du tout !

« Mme Priyanka a-t-elle eu raison de m'acheter cet appareil », me dis-je en me remémorant avec amour les moments que j'ai passés la nuit dernière, la langue enfoncée dans son cul, à bout de souffle entre ses fesses parfaites.

« Elle sait comment contrôler ma queue, me privant ainsi du plaisir — mais en me donnant le plaisir et la satisfaction dont j'ai vraiment besoin et en la vénérant comme une dame supérieure, par opposition à un orgasme rapide qui ne m'apporte rien à long terme », ai-je pensé.

Le meilleur livre de Mike Watson sur la façon de gérer les orgasmes ruinés (traduit en espagnol et en italien également !)

Ces pensées ont occupé mon esprit pendant encore quelques minutes, et je me suis soudainement levée, mon esprit s'embrasant.

Comment pourrais-je perdre ce temps simplement à penser à ce que j'avais fait jusqu'à présent ? Ma magnifique Mlle dormait confortablement, et je manquais l'occasion de lui masser les pieds pendant une demi-heure de plus avant qu'elle ne se réveille ?

Je me suis rapidement préparée et je suis entrée dans la chambre de Priyanka sur la pointe des pieds, en veillant à ne pas faire de bruit de peur qu'elle ne se réveille.

Je l'ai trouvée endormie confortablement sur le dos, les jambes grandes ouvertes sur le lit, avec ses zones de plaisir bien en vue, une position qui disait clairement « Mon lit, mon espace ».

Et cette posture me plaisait également : les hommes s'étendent généralement sur le lit comme s'il leur appartenait, même lorsqu'ils ont une partenaire féminine à leurs côtés, alors pourquoi une femme ne pourrait-elle pas faire de même ? »

Alors que ces pensées me traversaient l'esprit, je me suis agenouillée avec révérence devant ses semelles accueillantes, j'ai commencé à les masser doucement, en soufflant de l'air chaud de ma bouche dessus de temps en temps pour que ses pieds restent chauds.

J'ai également massé doucement ses tibias, car c'était une zone à laquelle je n'avais pas prêté beaucoup d'attention, mais j'étais sûre qu'ils avaient également besoin d'un bon massage. J'ai dû faire quelque chose de bien, car je l'ai sentie s'éveiller et bouger légèrement,

« Ah, tu y es », a-t-elle commenté d'une voix endormie, pas encore complètement réveillée. »

« Frotte-moi le cul », a-t-elle demandé en se retournant paresseusement. J'ai rampé avec empressement sur le côté du lit et j'ai commencé à frotter les deux globes de chair qui sortaient de façon séduisante du dessous de la couverture, son cul parfait me regardant fixement.

J'ai massé les fesses de façon circulaire, en veillant à ne pas négliger les muscles du bas du dos. Il s'agissait d'un massage doux et apaisant, du type qui peut transformer la personne ou simplement permettre à la personne de se détendre, selon l'humeur de la personne à ce moment-là.

Elle gémissait d'approbation de temps en temps, avant de commencer à se réveiller.

« Embrasse-moi le cul, esclave », ordonna-t-elle soudainement.

J'ai failli tomber dessus en me précipitant pour suivre ses ordres, en embrassant son cul comme je le ferais pour l'amour de ma vie. Je me suis également assurée de l'embrasser dans le bas du dos, ce qui a semblé la détendre un peu.

« Mets ta langue dedans », m'a-t-elle ordonné au bout d'un moment. Je lui ai ouvert les joues et je me suis attelée à ma tâche, une tâche que je dois avouer avoir beaucoup appréciée.

Son cul était un peu malodorant, comme tout le monde peut l'être après une bonne nuit de sommeil, mais j'étais tellement excitée que l'odeur m'excitait encore plus, la douleur émanant de mon aine n'ayant d'égal que mon désir d'enfoncer ma langue encore plus profondément dans son bouton de rose parfumé.

OH MON DIEU !

Elle était clairement excitée par mes soins affectueux, et elle en a apprécié pendant un certain temps, ne me donnant que des ordres sur la façon de la lécher ou sur l'endroit exact où l'embrasser.

J'ai également veillé à ne pas écarter ses fesses en explorant son passage étroit avec ma langue, afin que le plaisir lui soit encore plus naturel. Cela m'empêchait de respirer, car mon nez s'est retrouvé coincé entre ses fesses, mais c'était un petit prix à payer pour le plaisir de Mme !

« Mmm », gémisse-t-elle d'un air content, tandis que j'avais du mal à reprendre mon souffle. C'était comme si je respirais par ses fesses, mais même si cette idée pouvait sembler dégoûtante à certains, cela m'excitait énormément. La respiration est l'essence de l'énergie d'une personne, et respirer de l'air par les parties les plus intimes de ma mère était un signe de plus de ma supplication et de ma soumission totales à son égard !

Si j'allais avoir le privilège de l'amener à un autre orgasme, je me suis demandé, tout en continuant à la servir, mes mains massant doucement le bas du dos de temps en temps.

Comme si elle lisait les pensées, Mme s'est soudainement retournée, me repoussant.

« Ça suffit pour le moment », a-t-elle dit d'un ton dédaigneux en balançant ses pieds sur le sol, tandis que je me précipitais pour enfiler ses pantoufles et qu'elle buvait profondément dans la bouteille d'eau à côté d'elle.

« C'est l'heure de tes tâches matinales, salope », a-t-elle annoncé après avoir fini de boire de l'eau. « Tu t'habitues à être mon essuie-glace, n'est-ce pas ? » elle a demandé en riant.

« Oui, madame », ai-je répondu, brûlant d'humiliation et de désir, la première émotion étant clairement subordonnée à la seconde, ma queue faisant de son mieux (comme d'habitude) pour fouiller la prison dans laquelle elle était enfermée.

« Oui, je pense que c'est sûr », songe-t-elle en remarquant mon érection en cage, puis en riant, en se dirigeant vers la salle de bain.

Je l'ai suivie en veillant à ce que le siège des toilettes soit abaissé. Souvenez-vous toujours de ça, les gars !

Ça l'était.

Elle a fait ses besoins puis m'a de nouveau commandé.

« Nettoie, esclave », ordonna Mme en posant ses coudes sur le lavabo de la salle de bains et en se penchant.

Je me suis déplacée selon ses ordres, papier toilette à la main, tandis qu'elle continuait à me parler, son cul écarté me regardant droit dans les yeux, le salaud que je venais de lécher souillé de ses déchets ; la vue à la fois nauséabonde et aphrodisiaque, si cela a du sens.

« Difficile » pour l'instant, ceux qui le lisent (les gars) ?

Mesdames, vous l'aimez probablement aussi... Hehe (celles qui aiment le femdom, et la plupart devraient l'être !).

Et ça, mon ami, c'est la pointe de l'iceberg.

Téléchargez le livre dès maintenant.

Vraiment mon premier et l'un de mes meilleurs !

Meilleur,

Mike Watson

Par Mike Watson le 10 février 2022.

Lien canonique

Exporté depuis Medium le 6 juillet 2022.